En commentant cette publication, Olivier Novasque, président-directeur général de Sidetrade, a déclaré :

« Sur cette bonne performance du premier trimestre, je tiens particulièrement à remercier l’ensemble des équipes Sidetrade, lesquelles 100% en télétravail assurent une continuité d’activité remarquable et affichent une mobilisation sans faille pour servir nos clients. Dans ce contexte de pandémie sans précédent et dont les répercussions économiques sont encore incertaines, deux tendances significatives se dessinent qui pourraient avoir des effets positifs sur l’activité de Sidetrade dans les prochains mois.

D’une part, cette pandémie est un catalyseur de la transformation digitale des entreprises avec potentiellement une accélération des investissements dans les technologies SaaS d’automatisation et d’IA visant à l’optimisation des processus métiers. D’autre part, devant la recrudescence inouïe des retards de paiement, la crise replace la sécurisation du cash au centre des préoccupations des directions financières. Dans ce nouveau paradigme, les solutions de Sidetrade sont idéalement positionnées pour répondre à ces enjeux devenus plus prioritaires que jamais. C’est pourquoi, en dépit de cette crise, nous sommes confiants dans notre capacité à faire de 2020 une nouvelle année de croissance et à nous appuyer sur un positionnement singulier pour envisager l’avenir avec optimisme. »

Forte hausse du CA à 14%, démonstration de la résilience du modèle SaaS

SIDETRADE
(EN MILLIONS D’EUROS)
T1 2020 T1 2019 VARIATION (%)
CHIFFRE D’AFFAIRES 6.8 6.0 + 14%

Les informations 2020 sont des données consolidées non auditées..

Au premier trimestre 2020, Sidetrade affiche un chiffre d’affaires de 6,8 M€, en croissance organique de 14% par rapport à la même période en 2019 (laquelle était déjà en croissance de 14% vs T1 2018). La croissance de ce premier trimestre n’a pas été impactée par la pandémie du covid-19.

La récurrence du modèle SaaS est un atout très fort qui fait preuve de résilience face à la crise économique. Pour rappel, la société affiche 89% de revenus récurrents, basé sur des contrats pluriannuels (période initiale de 41,4 mois en moyenne) associé à un taux de churn très faible (3,9%).

Des perspectives qui devraient être favorables en 2020 et au-delà

Une hausse sans précédent des retards de paiement : +72% en France depuis la pandémie

Afin de suivre l’impact de la pandémie sur le crédit inter-entreprises, Sidetrade, en partenariat avec BFM Business, a ouvert en libre accès un tracker qui restitue -de façon anonyme- l’évolution des comportements de paiement de plus 3,7 millions d’entreprises au sein de six pays européens (France, Royaume-Uni, Espagne, Italie, Belgique, Pays-Bas). Sidetrade a pu s’appuyer sur sa technologie pour analyser, depuis le 1er janvier 2020, plus de 26 millions de factures totalisant 54 Mds d’euros de transactions inter-entreprises.

Le tracker Sidetrade – BFM Business est à suivre chaque semaine sur https://invoice-tracker.sidetrade.com/, sur la chaîne BFM Business ainsi que sur bfmbusiness.bfmtv.com/.

Ce tracker aura permis de confirmer le positionnement de Sidetrade en tant que leader dans son domaine disposant d’une base unique de données sur les transactions inter-entreprises.

Une initiative solidaire sur le marché des PME

Face à l’explosion des retards de paiement avec comme premières victimes les PME, Sidetrade a décidé d’adapter sa technologie, initialement destinée aux grands comptes, pour l’offrir gratuitement pendant la crise aux entreprises de 10 à 500M€ de chiffre d’affaires. La solution CashControl permet de contrôler et de sécuriser le cash (cf. communiqué du 31 mars 2020). Cette plateforme inclut l’envoi dématérialisé, et en illimité, de lettres de relance interactives, la mise à disposition d’échéanciers de paiement, l’ensemble renforcé par la puissance d’algorithmes de machine learning.

Le succès rencontré par cette offre CashControl pourrait être une opportunité pour Sidetrade d’explorer un nouveau segment de marché.

L’impact de la pandémie covid-19 sur le rythme de la transformation digitale

A l’évidence, la crise covid-19 aura accéléré l’adoption de solutions, d’outils et de services numériques, accélérant ainsi la transition mondiale vers une économie numérique. Les entreprises vont activer toute la panoplie des technologies numériques : digitalisation des échanges, automatisation robotisée des processus, IA. Le passage accéléré vers la transformation digitale devrait constituer une formidable opportunité de croissance pour tous les éditeurs de logiciels en mode SaaS.

Par ailleurs, cette crise place la trésorerie des entreprises sous haute tension avec comme priorité la capacité à accélérer les paiements et à contrôler la génération de cash-flow. Dans ce contexte, les solutions de Sidetrade sont idéalement positionnées. Rappelons que la société est sur un marché à fort potentiel, estimé à 3 milliards de dollars d’ici 2024 par une étude du cabinet Research & Markets.

Avec un modèle SaaS qui a fait la preuve de sa résilience, la société est bien positionnée pour conquérir le marché mondial et transformer le potentiel de son activité actuelle.

La direction de Sidetrade réitère sa confiance dans un exercice 2020 en croissance.

Nouvelle année de croissance à deux chiffres à périmètre comparable :

CA (17%) et REX (44%)

La solidité du modèle SaaS devrait générer des revenus en croissance et un exercice bénéficiaire sur 2020

La génération de cash-flow est plus que jamais un enjeu vital pour toutes les entreprises

En commentant cette publication, Olivier Novasque, président-directeur général de Sidetrade, a déclaré :

« Au cours de ces vingt dernières années, nous n’avons eu de cesse de construire cette entreprise sur des bases solides. Malgré l’impact et l’incertitude de cette crise, la solidité de notre modèle SaaS devrait nous permettre de réaliser un exercice 2020 alliant croissance et rentabilité, ce qui serait déjà une grande victoire. La période que nous traversons est aussi une opportunité inouïe de démontrer la résilience de notre modèle. En parallèle, la crise agit comme le catalyseur d’un changement déjà engagé depuis une décennie : le tout numérique devient la norme. Dans ce nouveau paradigme, les directions financières sont en première ligne pour assurer la génération de cash-flow indispensable à la survie de leur entreprise. Plus que jamais, elles sont pleinement conscientes de la nécessité de s’appuyer sur les dernières technologies en Intelligence Artificielle pour développer leurs interactions digitales avec leurs clients et accélérer les règlements. Nous préparons donc activement le rebond car le sujet du cash et des délais de paiement va devenir un enjeu crucial pour toutes les entreprises dans les semaines et mois à venir. »

Nouvelle année de croissance à deux chiffres à périmètre comparable : CA (17%) et REX (45%)

GROUPE SIDETRADE
(EN MILLIONS D’EUROS)
2019 2018 VARIATION (%)
CA À PÉRIMÈTRE COMPARABLE 25.7 22.1 + 17%
ACTIVITÉ SERVICES BTOC 2.0
CHIFFRE D’AFFAIRES 25.7 24.1 + 7%
REX À PÉRIMÈTRE COMPARABLE 2.3 1.6 +44%
ACTIVITÉ SERVICES BTOC 0.8
REX 2.3 2.3 -3%
RÉSULTAT NET 2.2 2.2 +1%

Les procédures d’audit sur les comptes consolidés 2019 ont été effectuées. Le rapport de certification a été émis après finalisation des procédures requises pour les besoins du rapport financier annuel.

2019 constitue une année record de prises de commandes sur les nouveaux clients. Celles-ci ont bondi de 88% pour atteindre un niveau record de 4,8 M€ d’abonnements en base annuelle (Vs 2,6 M€ sur 2018). Ces abonnements garantissent une visibilité certaine de la croissance du chiffre d’affaires de Sidetrade pour 2020 et les années qui suivent.

Sur l’année, Sidetrade affiche un chiffre d’affaires de 25,7 M€, en forte croissance organique de 17% à périmètre comparable par rapport à 2018. Rappelons que le chiffre d’affaires de Sidetrade est retraité des Activités Services BtoC suite à leur arrêt, annoncé fin 2018.

La croissance du chiffre d’affaires est portée par l’activité historique AI Financials qui franchit le seuil de 20 M€ sur 2019 pour s’établir à 21,3M€, en hausse de 17%. Cette accélération témoigne d’une forte attractivité pour la nouvelle version de la plateforme AI Financials. L’offre AI Sales & Marketing poursuit également sa croissance avec une hausse de 17% sur l’exercice 2019.

Résultat d’Exploitation au-delà des attentes (44% de croissance)

Le Résultat d’Exploitation à périmètre comparable s’est élevé à 2,3 M€ en 2019, en hausse de 44% comparé à l’exercice précédent (1,6 M€).

Cette très bonne performance s’explique par une croissance de la marge brute de 2 M€ pour atteindre 20,0 M€, soit un taux de marge brute de 78% du chiffre d‘affaires. La contribution des abonnements SaaS représente 94% de cette marge brute et confirme ainsi la rentabilité incrémentale du pur modèle SaaS de la société.

Toujours sur l’exercice, Sidetrade a lancé un programme d’investissement de 2 M€ supplémentaires afin d’augmenter ses ressources en vente et marketing pour accompagner la croissance de ses activités. Par ailleurs, la société a finalisé en R&D la convergence des trois technologies acquises permettant d’augmenter son efficacité.

Ce Résultat d’Exploitation intègre notamment un Crédit d’Impôt Recherche de 2,1 M€ (vs 1,9 M€ en 2018) ainsi qu’une activation des frais de R&D marginale à 0,25 M€ (quasi identique à 2018).

Une structure financière solide au 31/12/2019

Sidetrade conserve une structure financière solide avec une trésorerie brute de 5,3 M€ pour une dette financière quasi nulle à 0,3 M€.

Pour mémoire, Sidetrade détient également 103 000 actions en propre pour une valeur de 6,9 M€ au 31 décembre 2019.

Face à la crise du covid-19, la robustesse du modèle 100% SaaS de Sidetrade devrait générer des revenus en croissance sur l’exercice 2020

Dans un contexte d’incertitude sans précédent, Sidetrade a finalisé la modélisation de plusieurs scénarios budgétaires afin de tester sa solidité financière face aux impacts de la pandémie Covid-19 (cf. communiqué de presse du 25 mars 2020). Eu égard à la violence et à l’ampleur de la crise à date, Sidetrade a privilégié des hypothèses extrêmement conservatrices de ralentissement de l’activité commerciale afin de simuler un scénario de type « crash test » et d’ajuster ses investissements en conséquence. Dans ce modèle, la direction de Sidetrade a retenu les hypothèses suivantes pour l’exercice en cours :

  • Réduction drastique de 67% en moyenne de la production de nouveaux contrats d’abonnement (nouveaux clients) sur les neuf premiers mois de l’exercice 2020 par rapport aux objectifs budgétaires
  • Retour progressif à la normale sur les nouvelles prises de commandes envisagé uniquement à compter du quatrième trimestre 2020, lequel n’a historiquement que peu d’impact sur le chiffre d’affaires de l’exercice en cours compte tenu fait de la reconnaissance du revenu des abonnements au prorata temporis

Au-delà de ce scénario, l’éditeur de logiciel 100% SaaS s’appuie plus que jamais sur la robustesse de son modèle par abonnement pour traverser la crise :

  • 89% de ses revenus sont récurrents et basés sur des contrats pluriannuels (41,4 mois en moyenne).
  • Le record de prises de commandes réalisé en 2019 (+88% avec 4,8 M€ de revenus annuels récurrents signés en 2019) aura un impact significatif sur la croissance des revenus de l’exercice 2020.
  • Le Taux de Churn historiquement bas en 2019 (3,9%) devrait perdurer sur 2020 dans un contexte où la collecte du cash et la gestion des délais de paiement constituera un enjeu vital pour toutes les entreprises du BtoB.

En conséquence, et en dépit du scénario noir retenu, la direction de Sidetrade est confiante dans sa capacité à afficher des revenus en croissance sur l’exercice 2020.

Ajustement des investissements prévus afin d’envisager un exercice bénéficiaire

Du côté des dépenses, Sidetrade a pris la décision (cf. communiqué de presse du 25 mars 2020) d’ajuster significativement à la baisse l’accélération de ses investissements prévus sur 2020 en prenant les mesures suivantes :

  • L’ensemble des recrutements budgétés sont gelés jusqu’en juin 2020.
  • L’ouverture des Etats-Unis est reportée au 1er septembre 2020.
  • L’ensemble des dépenses non prioritaires a été revisité à la baisse jusqu’au 30 juin 2020.

Ces mesures, déjà en vigueur, permettront de dégager plus de 3M€ d’économie par rapport aux dépenses initialement budgétées sur l’exercice 2020.

Ces dispositions pourront être revues et renforcées en cas de besoin.

A ce jour, la société n’a pas eu recours aux dispositifs exceptionnels de soutien en trésorerie mis à disposition par l’Etat français et n’a pas fait appel au dispositif français de chômage partiel.

Une structure financière solide pour 2020

En date du 24 avril 2020, Sidetrade conserve une structure financière solide avec une trésorerie brute de 7,2 M€ (vs 5,3M€ au 31/12/2019). La société a un endettement quasi nul et pourrait bénéficier -en cas de besoin- des mesures gouvernementales d’accès facilité à la dette bancaire.

Pour mémoire, Sidetrade détient toujours également 103 000 actions en propre pour une valeur de 6,5 M€ au 24 avril 2020.

Dans le contexte actuel de crise sanitaire doublée d’une crise économique historique, comment se comportent les entreprises vis-à-vis de leurs fournisseurs ? Celles-ci ont-elles adopté une ligne de conduite solidaire comme les y exhorte sans relâche le Médiateur des entreprises depuis le début de la crise ?

Pour apporter des réponses objectives à ces interrogations, Sidetrade, en partenariat avec BFM Business, lance la publication du premier « Tracker sur les retards de paiement des entreprises » qui sera suivi semaine après semaine. En libre accès pour l’ensemble des décideurs du privé et des pouvoirs publics, cet outil vise à alerter les acteurs économiques quant à la nécessité de « gestes barrières » économiques essentiels, tels que l’adoption d’un comportement de paiement responsable vis-à-vis de ses fournisseurs, avec l’objectif de ne pas amplifier davantage les effets de la crise pour beaucoup d’entreprises déjà en difficulté.

Rappelons que le crédit inter-entreprises représente une source importante de financement, évaluée dans le rapport annuel de l’Observatoire des délais de paiement (publication Banque de France, 2018) à 722 milliards d’euros. Les retards de paiement constituent donc un risque majeur pour la pérennité des entreprises, notamment les PME. Conscient de ce risque majeur pour l’économie française, le gouvernement s’est saisi du sujet dès le 23 mars 2020 en convoquant le premier comité de crise sur les délais de paiement réunissant le ministère de l’Economie et des Finances et la Banque de France. Le Médiateur des entreprises et le Médiateur national du crédit ont alors indiqué avoir déjà enregistré, en deux semaines, l’équivalent de 3 mois de saisine. Bercy a déclaré que toute entreprise qui ne jouerait pas le jeu vis-à-vis de ses fournisseurs en matière de délais de paiement perdrait systématiquement la garantie de l’Etat sur l’obtention potentielle d’un crédit bancaire.

Un suivi paneuropéen de la réalité des délais de paiement inter-entreprises à l’attention des décideurs et des pouvoirs publics

Le tracker Sidetrade – BFM Business restitue, semaine après semaine, l’évolution des comportements de paiement de plus 3,7 millions d’entreprises au sein de six pays européens (France, Royaume-Uni, Espagne, Italie, Belgique, Pays-Bas). Sidetrade a analysé, depuis le 1er janvier 2020, plus de 26 millions de factures totalisant 54 Mds d’euros de transactions inter-entreprises. Une étude à la mesure de l’enjeu.

Selon l’Observatoire des délais de paiement, les retards de paiement en France oscillent suivant les années autour d’une dizaine de jours, ce qui est relativement similaire à la moyenne européenne. Dans leur étude, les data scientists de Sidetrade ont donc considéré uniquement les retards de paiement supérieurs à cette moyenne, soit chaque retard supérieur à dix jours au-delà de la date d’échéance de la facture. Ils ont ensuite calculé rétroactivement, pour chaque semaine depuis le 1er janvier 2020, le rapport entre ces factures en retard et l’ensemble des factures en suspens puis déterminé une moyenne (en pourcentage) de factures impayées entre le début de l’année et le 11 mars 2020, date de la déclaration de pandémie covid-19 par l’OMS. Ce sont les écarts (en pourcentage) à cette référence moyenne que met en évidence le tracker Sidetrade-BFM Business.

Du 1er janvier au 11 mars 2020, le tracker Sidetrade – BFM Business affiche une relative stabilité des retards de paiement se situant autour de 20% pour l’ensemble des pays analysés. Les faibles variations sur cette période d’avant pandémie sont principalement dues aux cadences de facturation et aux processus de règlement des entreprises (début de mois, fin de mois, décade…). Sur la période 1er janvier au 11 mars 2020, a été calculé la moyenne du taux d’impayés, qualifiée de moyenne habituelle. Celle-ci permet de comparer le taux d’impayés à une date donnée avec cette moyenne d’avant la période de pandémie.

Sans surprise, à compter du 11 mars 2020, les retards de paiement s’envolent littéralement dans les pays les plus touchés par la crise sanitaire pour atteindre une croissance des factures impayées explosives par rapport à la moyenne habituelle. En comparaison avec cette moyenne de référence propre à chaque pays, le montant des retards de paiement s’envole ainsi de +80% en Italie, +56% en France, +52% en Espagne ou encore +44% en Belgique. Ce tracker confirme une situation économique explosive pour beaucoup d’entreprises, fortement corrélée à l’évolution de l’épidémie covid-19.

Zoom sur la situation en France

75 Mds d’euros d’impact sur la trésorerie des entreprises subissant les retards de paiement

Du 1er janvier au 11 mars 2020, la moyenne des factures impayées avec plus de 10 jours de retard se situait sur une moyenne autour de 19,25% en France.

A compter du 11 mars 2020, la courbe des factures impayées en France affiche une dégradation exponentielle pour atteindre 30% au 13 avril 2020, soit une croissance de +56%.

En extrapolant ces chiffres constatés au 13 avril 2020 -portant sur plus de 11,3 Mds de crédit inter-entreprises dont 3,4 Mds d’euros de factures impayées – à l’ensemble du crédit inter-entreprises en France (700 Mds d’euros), le montant total de ces impayés serait, au 13 avril 2020, de 210 Mds d’euros (30% de factures impayées) là où ces mêmes retards se situaient habituellement autour de 135 Mds d’euros, soit un impact de 75 Mds d’euros de trésorerie en moins pour les entreprises subissant ces retards de paiement.

Le tracker Sidetrade – BFM Business est à suivre chaque semaine sur https://invoice-tracker.sidetrade.com, sur la chaîne BFM Business ainsi que sur https://bfmbusiness.bfmtv.com.